Jeux de soumission pour Marie

Je vous présente une amie, Marie jolie brune, la cinquantaine très bien conservée, elle recherche des sensations nouvelles dans les plaisirs sexuels, je lui conseil de s’essayer à la découverte de la soumission et de l’humiliation.

Je vous présente une amie, Marie jolie brune, la cinquantaine très bien conservée, avec un corps qui fait que les hommes se retourne encore sur son passage.
Marie est à la recherche de sensations nouvelles dans les plaisirs sexuels, je lui conseil de s’essayer à la découverte de la soumission et de l’humiliation.

Je contacte un couple d’amis ayant aussi la cinquantaine, Michel et Julie, et pratiquant se genre de choses, je leur parle de Marie et de ses envies. Nous tombons rapidement d’accord pour lui organiser un rendez-vous auquel je serai présent en tant qu’accompagnateur et surtout voyeur.

Quelques jours plus tard, un après midi, j’accompagne Marie chez mes amis, nous sonnons à la porte, une silhouette fine et racée nous ouvre la porte. Il s’agit de Julie, absolument magnifique, vêtue de dessous de grandes marques et portant aux pieds de sublimes talons aiguilles . Elle ne dit mot et nous accompagne au salon où son homme est assis. Il dévisage Marie et demande à sa compagne de lui apporter des vêtements plus décents. Elle la pare d’un porte-jarretelles rouge, d’un bustier noir et termine sa tenue par des escarpins à talons aiguilles d’au moins douze centimètres, elle ne lui donne ni culotte ni soutien gorge.

Michel n’est pas très satisfait de l’apparence de Julie. Elle ne fais pas assez catin pour lui. Elle sait ce que cela veut dire. Elle s’approche et se positionne sur ses genoux toujours sans dire un mot. Les claques sont appuyées et le bruit me fait sursauter. Ses fesses commencent à rosir. La douleur semble fugace et très largement supportable. Aux claques suivantes, je la sens se tendre pour retenir ses gémissements. Les fesses ont maintenant pris une jolie teinte pourpre, elle demande grâce. Inexorablement sa main retombe, alternant des claques cette fois plus légères. Il lui caresse les fesses. Elle ondule de plaisir. Il enfonce deux doigts dans son mont de vénus bien lisse. Son corps vibre, elle gémit, elle jouit puis se retire. Dommage, je l’aurais bien consolé de mes lèvres douces et chaudes, je regarde Marie, elle aussi aurait aimer consoler Julie.

Michel se tourne vers moi, dévisage Marie avec une intensité troublante, baisse un peu les yeux pour s’arrêter à la hauteur de ses seins en forme de poire et aux larges aréoles au milieu desquelles, émergent des tétons bien érigés. Je sens qu’ils pointent. Je veux croire qu’il ne s’agit-là que d’un effet de la clim trop froide. Où, serait-ce une réaction incontrôlée de sa part beaucoup moins avouable ? Il lui demande de marcher. L’exercice avec les talons vertigineux est périlleux. Nous admirons le ballottement de ses seins à la peau bronzée et fine, nos yeux caressent la courbe gracieuse de ses hanches. Les mains de Michel rebondissent sur les globes parfaits de ses fesses. Il la complimente pour les lèvres charnues de son sexe, ouvre ses fesses un court instant et fait des commentaires sur son œillet fripé. Il se délecte de son corps tout entier et de sa démarche qui, malgré la hauteur des talons, finit par prendre de l’assurance. Son regard noir descend, fait une nouvelle pause au niveau de son pubis. Ses yeux sont particulièrement, charnels, lubriques. Je sens les joues de Marie virer au rouge. Tout comme Marie je sens que mon excitation augmente.

Je sens mon pouls accélérer lorsque les mains de Michel viennent se poser sur les seins de Marie. Il se rapproche insensiblement d’elle et tirant sur ses seins, il la fait mettre à genoux. Il la regarde longuement dans les yeux. Il semble prolonger délibérément la position. La douleur commence à gagner les genoux ankylosés de Marie. Elle veux se relever, il pince fortement ses tétons pour lui signifier le refus. Alors, il lui ordonne de se mettre en levrette sur un large canapé. Marie obtempère heureuse de se dégourdir les jambes quelques secondes. Il lui commande de creuser les reins le plus possible. Son pubis se découvre à nous dans toute sa beauté. Il l’insulte. Elle n’est qu’à ses yeux qu’une petite garce bourgeoise. Il inspecte ses parties les plus intimes avec ses yeux et ses doigts, la rabaissant au simple rang d’objet sexuel, dont il peut user à sa guise, comme pour mettre à l’épreuve sa détermination. Malgré ses gestes dégradants elle ne peux s’empêcher, de prendre du plaisir, elle ne peux s’empêcher de jouir.

Michel positionne sa main droite bien au milieu de son ventre, comme pour assurer sa prise, pendant que la gauche descend lentement sur son pubis. Il presse son clitoris. Son pénis dur est venu se plaquer le long de la raie de ses fesses. Il la traite de nouveau de vicieuse, de chienne, de pute, de salope… Michel commence à haleter. Il se frotte contre ses fesses, que dis-je il se masturbe sur son cul offert. Cela le met dans un état d’excitation extrême, et il est pas le seul. Il gémit de plaisir. Au lieu de la pénétrer, il saisit un godemichet de très belle dimension et l’enfonce dans mon minou en entier presque d’un seul coup. Les sensations sont comme une sorte de viol de son intimité. Elle ne mérite pas son membre nous dit-il. Ces gestes sont puissants quoique douloureux et dégradants, ce qu’il lui fait subir avec l’énorme godemichet éveillent en Marie, contre toute attente, une excitation quelle n’a jusqu’à lors jamais ressentie. La cyprine coule de son vagin, et Marie dans des cris et convulsions de jouissance prend un pied immense. Moi aussi mon excitation est à son comble, mon slip est trempé du jet de sperme que j’ai laissé échapper tellement j’étais excité par tout ce spectacle.

Michel demande à Marie de reprendre ses vêtements rapidement, et nous met à la porte, Marie le minou toujours à l’air, les cuisses et les jambes inondées de son plaisir. Je la raccompagne chez elle, en chemin elle me dit:
J’ai aimé cela, cet avilissement. J’ai eu un orgasme puissant. Aurai-je envie de le revoir même si Michel me le redemandais ? Je ne sais pas. Je préfère nier ces pulsions nouvelles qui me semblent pour le moment inavouables et honteuses à accepter.

Arrivé chez elle, Marie se jette sur moi, en manque de bite, et je profite de son vagin si lubrifié par tout le plaisir quelle vient d’avoir, que c’est bon de glisser dans son intimidé si douce, nous jouissons en cœur, heureux de cette après midi de folie.

Histoire de Seeyou.

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